Des snipers dans les palissades

j'avais écrit jusqu'au 30 mai, tout programmé. Zut, nous voici le 31. Rien sous la main. Chut

J'anticipe toujours sur ce que je raconte, procédé étrange mais POUR L'INSTANT je m'amuse bien ainsi.
Normalement aujourd'hui je retourne au foot après plus de deux longs mois d'absence ; ça va être beau...
Soirée de départ de Yoshie aujourd'hui également, la fin d'une époque, ou comment tourner une page japonaise. Etant donné la finesse du papier japonais et Yoshie, nul doute que la page finira déchirée ce soir.

Sinon sur cette photo un petit restaurant où j'ai mangé des Onden (on choisit le contenu, pomme de terre, cogniaku (?), nouilles, tofu, et ça trempe dans une petit bouillon), et gouté le poisson mortel (si mal préparé) le Fugu. Tout ça était bien sympa et préparé par une clique de gens d'Osaka d'après ce qu'on m'a dit, assez bruyants (des sudistes d'ici en somme), ça m'a fait du bien. Attention hein, Fambrini me manque pas non plus, faut pas déconner. Mais bon les terrasses ici ça manque heing !
Bon le Fugu comme j'avais pu le lire n'a pas un intérêt culinaire fabuleux, de bons colins panés avec des épices Albert Menez peuvent même être meilleurs. A priori j'ai vaincu le poisson.

Une entrée d'immeuble.

Un snack à la crevette. Je suis allé jusqu'à acheter un t-shirt à son effigie ahah.

Un chat qui pionce sur les stocks du magasin. S'en fout le chat. L'a bien raison.

Des carpes. Il suffit de taper dans ses mains pour les voir rappliquer, espérant quelque nourriture. Une tortue m'a gratté aussi, essayant désespérément de monter sur un rocher dans le but de quémander ! Par contre les clochards locaux ne quémandent pas. Ils sont muets. Pas comme des carpes. ICI DU MOINS.

PUTAIN DU MAIS CHAUD AU JAPON, LA DECHE...

Et ça c'est une borne d'arcade pour jouer à être les saigneurs de la night. Ou Girl Talk, ça dépend de son niveau quoi...